Chaque année, la révision des dépenses et des investissements d’une entreprise doit se faire pour évaluer les taux de bénéfices internes. Les points négatifs et positifs de la réussite d’une entreprise dépendent des suivis fiscaux et de sa conformité en traitement.
L’amortissement sur le plan fiscal
L’amortissement est en général la consommation d’immobilisation qui est considérée comme une charge. Qui dit charge, dit réduction de résultats de base, et cela implique un rabais au paiement de l’impôt qui est une recette de l’État. L’amortissement est alors une politique de l’économie d’une entreprise qui permet de réduire les dépenses pour les recettes de l’État. En effet, quand il y a l’augmentation de l’amortissement, cela implique à la réduction des paiements des impôts. L’amortissement est alors une stratégie pour diminuer les dépenses, mais incite à l’entreprise d’investir pour des projets rapportant des bénéfices à l’entreprise. Revenons sur l’investissement, les dépenses de l’entreprise se focaliseront sur ses propres activités et à l’utilisation de ses biens.
Cette activité amènera à l’amortissement.
Les durées de vie des biens de l’entreprise
Les durées d’utilisations des biens de l’entreprise se calculent selon les types des biens utilisés. Notamment pour les outils informatiques comme l’ordinateur, l’entreprise aura une marge de 3 à 5 ans d’utilisation. Pour les transports comme les voitures, elle aura 5 ans pour son usage, pour les endroits commerciaux où s’exercent les ventes de l’entreprise, cela durera de 20 à 50 ans. Pour les travaux de bâtiment, une durée de 15 ans et pour l’usage des bâtiments des industries 20 ans. Les calculs sur les amortissements de l’entreprise se feront donc à partir des années d’utilisation de ces biens. Il est important de toujours appliquer un suivi à l’aide des durées d’utilisation des biens pour pouvoir calculer en retour l’amortissement fiscal de l’entreprise.
Les types d’amortissement fiscal
Il existe 3 types d’amortissement fiscal qui sont : l’amortissement linéaire, l’amortissement dégressif et l’amortissement dérogatoire. Le type d’amortissement linéaire est pour le régime de droit commun. Il est aussi appelé comme l’amortissement constant qui s’applique à tous les biens amortissables consommés de l’entreprise selon la date de mise en service de l’immobilisation de ces biens. L’amortissement dégressif est plutôt réservé aux immobilisations. Les immobilisations sont définies comme les ressources qui soutiennent les activités de l’entreprise en termes d’achat. Ainsi, ce type d’amortissement est destiné pour les biens amortissables et neufs qui durent plus de 3 ans.
Par contre, l’amortissement dérogatoire n’est pas un amortissement. La durée d’utilisation des biens est d’une courte durée, donc il n’est pas considéré comme tel. Il ne faut pas aussi oublier les modes de comptabilisation des amortissements. Il y a ce qu’on appelle l’amortissement comptable, la comptabilité de l’entreprise indiquera un bénéfice sur le fisc pendant le début de l’amortissement et l’entreprise devra appliquer à nouveau ces amortissements pour les années à venir.
Les amortissements fiscaux sont dus aux régressions des taux de paiement d’impôts de la recette de l’État, optimisant les biens. Les amortissements sont alors une politique intelligente et économique à la consommation des biens de l’entreprise selon les durées respectives.